Turquie, le sort n'est pas conjuré...

Le voyage pour la Turquie a été long et fastidieux, de nouveau.
Déjà le départ de Paris est annoncé avec 45 minutes de retard — les vieux souvenirs remontent — mais tout va bien, nous montons dans l'avion et celui-ci décolle avec son heure de retard règlementaire.

Affiche de la Super Finale 2014

Une fois arrivés à Istanbul, il nous faut passer la frontière pour prendre notre correspondance. il nous restait 45 minutes pour le faire... ça passe ! ça passe ? ...

Eh non, ça ne passe pas : 3h pour passer les contrôles des passeports, s'ensuit une galère pour savoir où aller, changer nos billets pour le lendemain, se faire conduire à l'hôtel, essayer de manger (ou pas), dormir (ou presque) puis attraper le vol de 6h50 le lendemain, récupérer mon aile — qui, elle, était bien arrivé le 22 à Denizli —.

Ouf, me voilà à Pamukkale, installé à l'hôtel sur le bord de la piscine. Finalement, avoir quelques jours de marge était une bonne idée.

Mais qui est le chat noir de ce voyage ? Qui ?
Maxime ? Thomas ? Roberto ? Yann ? nous ne le saurons jamais, mais ce n'est pas si grave la météo s'annonce sympa pour les 10 jours qui viennent, je vais essayer d'en profiter un max !